Taux de réussite

Lorsqu’une entreprise confie un salarié ou un groupe de salariés à un organisme de formation pour lui délivrer une formation certifiante, l’attente se situe à deux niveaux :

• Le retour sur investissement est attendu sur les connaissances, compétences et savoir-faire à pouvoir mobiliser dans les missions professionnelles le jour suivant la formation.
• L’obtention de la certification : suivre une formation, préparer l’examen et payer le passage de la certification, l’objectif est clairement l’obtention de la certification.

Une certification Qui pourra être mise en avant par les participants dans leur carrière et par l’entreprise, par exemple lors de réponses à appels d’offre.

Confier une formation certifiante revient à escompter un retour sur investissement sur ces deux thèmes.

L’obtention de la certification n’est pas automatique, auquel cas, elle n’aurait pas de valeur.

La mission de notre organisme, portée par nos formateurs certifiés et accrédités, c’est justement de préparer les candidats pour les présenter à l’examen dans les meilleures conditions.

C’est ce que nous voulons apporter ! Et c’est notre promesse lorsque nous acceptons une commande Inter ou Intra.

C’est notamment la raison pour laquelle nous limitons chaque session de formation à un nombre de participants, selon les modules.

Chacun doit avoir le temps de s’exprimer, poser ses questions. Notre formateur doit pouvoir approfondir, faire comprendre, dévoiler ses exemples professionnels concrets, proposer et encadrer les exercices et les corriger et enfin, encadrer les examens blancs de certification.

Nous nous sommes interrogés sur les raisons d’un échec à un examen de certification. Si l’on part du principe d’une formation accréditée et éprouvée dans le temps, nous recherchons les causes d’un échec.

La réussite ou l’échec dépend souvent de l’engagement des participants, de l’intensité de leurs révisions, du stress éprouvé devant l’épreuve réelle, de leur adéquation avec le mode d’examens, souvent un QCM (qui ne convient pas à chacun).

Chaque fois que cela est possible, nous faisons tourner la roue de Deming (nous cherchons les moyens d’améliorer ces taux en observant et faisant) pour essayer d’obtenir des taux de réussite importants.

Nous ne visons pas 100% pour les raisons invoquées plus haut. Ce que nous visons, c’est l’excellence.

Et cela commence par obtenir des taux de réussite supérieurs aux standards mondiaux.

Chaque année, nous mesurons, pour nos modules les plus demandés en demandant à l’Institut d’Examen les taux de réussite pour l’année N-1 et les comparons avec ceux de FCT Solutions.

Et chaque année, nous essayons des techniques nouvelles pour favoriser l’engagement, davantage marquer les esprits lors de la formation et de la phase de préparation.

C’est notamment le rôle du formateur référent de chaque thématique : chercher des solutions, provoquer des séances de coaching avec les autres formateurs, mettre à profit l’intelligence collective pour collecter les situations et trouver des idées, souvent innover et en tout état de cause pouvoir offrir une préparation à l’examen optimale.

Cependant, nous ne négligeons jamais l’humain : il est possible d’échouer à un examen de certification : ce n’est pas une fin en soi. Nos formateurs communiquent et coachent les participants en ce sens.

Un échec est une opportunité de progresser : nos formateurs prennent soin d’accompagner chaque participant : d’ailleurs, il n’est pas rare que les participants écrivent à leur formateur pour le remercier de les avoir menés à la certification ou parfois, cela arrive, annoncer un échec : c’est l’occasion pour nos formateurs de montrer leur côté le plus humain en relevant le moral et en encourageant à réessayer, en se préparant différemment, sans jamais tomber dans un piège de fatalisme ou de stress qui n’a pas sa place dans une carrière professionnelle.